Dans la peau d’une jeune nounou : Emi Regardin

Emi Regardin, étudiante en psychologie et baby-sitter engagée : un témoignage inspirant

Emi Regardin, 20 ans, combine deux activités qui lui conviennent parfaitement : des études en psychologie et un job étudiant en accord avec son souhait de “servir a quelque chose” : le baby-sitting chez Nounou ADOM. Passion pour l’enfance, envie de faire des choses importantes et premières expériences professionnelles ; voici le témoignage d’une jeune baby-sitter inspirante.

• Une vocation naissante pour la psychologie de l’enfance

Emi est en deuxième année de licence de psychologie. Mais cela ne fait pas longtemps qu’elle a commencé à suivre le cursus de ses rêves. ”Je m’intéresse aux émotions, aux pensées, aux expériences personnelles… et tout particulièrement à la période de l’enfance, qui façonne notre manière de fonctionner “, a-t-elle expliqué pour justifier son choix.

Il y a donc une volonté sincère de comprendre les enfants et une réelle curiosité intellectuelle dans ce cursus.

• Un job d’été qui a du sens

Comme beaucoup de jeunes, Emi a par la suite cherché un job pour s’autofinancer. Elle refusait de se tourner vers un simple job alimentaire. “Cela ne m’intéressait pas. Je voulais me sentir utile, apporter quelque chose à la société. Un après-midi, je suis allée au job dating à Versailles, et c’est là que j’ai découvert Nounou ADOM. Je me suis complètement retrouvée dans les valeurs de l’entreprise. En plus, j’ai toujours aimé m’occuper des enfants, donc j’ai postulé. Le processus de recrutement n’était pas compliqué du tout, et l’intégration dans l’équipe s’est faite très naturellement.”

• Le quotidien d’une baby-sitter attentive et bienveillante

Depuis qu’elle travaille chez Nounou ADOM, Emi est régulièrement la nounou de deux familles et effectue également plusieurs autres gardes. Elle s’occupe d’enfants âgés de 5 à 10 ans. Typiquement, la journée commence avec le petit-déjeuner, pour ensuite être divisée en différents moments de jeux (jeux de société, livre, parc), puis c’est l’heure du bain (souvent le soir), les devoirs si besoin et le dîner…

Ce qu’elle préfère vraiment ? “Voir des enfants qui sont tous différents et spéciaux, leur montrer de la gentillesse, être quelqu’un à qui ils peuvent parler sans problème.” Le plus dur, d’après elle, c’est de s’habituer à chaque famille, à leurs façons de faire, leurs règles… « Il faut aussi beaucoup de patience face aux petits problèmes du quotidien. »

• Un vrai lien avec les familles et l’équipe !

Il est très important de parler avec les parents, et cela se passe toujours sans problème, surtout grâce à une application facile à comprendre qui explique bien ce qu’il faut faire. “ J’ai toujours eu l’impression d’être aidée par l’équipe de Nounou ADOM, qui prend le temps de bien m’expliquer les tâches à réaliser”, dit-elle. Même si elle n’a pas encore reçu de formation spéciale, elle a l’impression que son travail est reconnu indépendamment de son jeune âge : “ On me traite avec respect, comme si j’étais une collègue comme les autres. ”

• Une expérience qui nourrit son projet professionnel

Bien que son emploi de baby-sitter se concentre principalement sur l’été, Emi y voit une prolongation naturelle de ses études. « Ce travail touche directement au développement de l’enfant, un domaine qui m’intéresse particulièrement. Il m’aide a développer des qualités essentielles pour devenir psychologue, comme l’adaptabilité ou l’écoute. »

Loin d’être un simple job d’appoint, cette expérience renforce sa motivation à travailler un jour dans la psychologie de l’enfance.

• Conseils aux familles et aux futures baby-sitters

Pour les familles qui hésitent à faire appel à une jeune baby-sitter, Emi se veut rassurante : « Nounou ADOM sélectionne des personnes motivées et de confiance. Ce sont des profils sérieux, formés à accompagner les enfants dans le respect et la bienveillance. »

Et pour les étudiantes tentées par cette voie, elle conseille d’y réfléchir sérieusement : « Il faut être motivée et savoir qu’on prend des responsabilités importantes. C’est un job spécial, qui demande patience, altruisme, et surtout une vraie envie d’être là pour les enfants. »